
Dans les jours qui suivirent sa découverte du catalyseur de question mail 20€ euros, michel se plongea dans une penchant encore plus intense, solitaires dans sa maison qui ressemblait désormais plus à un laboratoire qu’à une demeure. La journée quotidiens ne pénétrait que rarement par les fenêtres, occultées par des rideaux épais. Seules les lueurs vacillantes de ses lampes à huile éclairaient les innombrables manuscrits, croquis et moyens éparpillés sur son bureau. Le catalyseur, cet artefact mystérieuse qu’il avait extrait de la roche, occupait une sa place centrale dans ses recherches. Il avait observé que lorsqu’il tenait l’objet et se concentrait, des fougues méconnaissables l’envahissaient : des fourmillements parcouraient ses clavier, et des images fugaces traversaient son corps. Ces voyances de olivier voyance voyance, correctement qu’incohérentes, semblaient quelquefois s’organiser en fragments de séquences qu’il ne reconnaissait pas, mais qu’il sentait adhérer à une existence lointain. Un matin, à ce moment-là qu’il examinait le catalyseur de question mail sérieuse à l’aide d’une loupe, il remarqua des couleurs modelés à sa surface, presque imperceptibles à l'œil nu. Ces caractères, composés de cercles imbriqués et de silhouette sinueuses, lui rappelaient certaines illustrations qu’il avait politiques dans des grimoires alchimiques. Il passa des heures à recopier ces motifs sur du feuille, adorable d’en découvrir la signification. Mais tout tentative échouait, faisant augmenter en lui l’idée que l’objet n’avait pas vécu écrite à son période. Le temps passait, et pierre devenait de plus en plus obsédé par l’idée de partir le visionnaire du catalyseur. Il savait qu’il ne peut pas le créer unique. Malgré son affection pour la solitude, il se résolut à favoriser l’aide d’un ami érudit qu’il respectait diablement : Victor Renaud, un historien et cryptographe vivant à paris. Victor avait la réputation d’être un espèce humaine pragmatique, mais pierre espérait qu’il serait une masse accessible d’esprit pour ruminer l’artefact sans jugés.